Le site américain🇺🇸The Hill cite le cas d’un double vacciné, cloîtré chez lui avec masque, mort du #COVID19
Pour sa fille, vacciner reste essentiel car « elle ne peut même pas imaginer combien il aurait souffert s’il n’avait pas été vacciné »
Les arguments en faveur des vaccins évoluent donc.
D’abord, il était efficace à +de 95%, n’avait aucun effet secondaire, et il empêchait l’infection et la transmission.
Puis son efficacité a été revue à la baisse.
Puis on a découvert qu’il n’empêchait ni infection ni transmission
Puis on a reconnu du bout des lèvres qu’il y avait en effet des effets nocifs (myocardites/AVC/zonas/allergies..) mais qu’ils étaient statistiquement négligeables.
Puis on a découvert que l’efficacité baissait rapidement, au point qu’il faut injecter une 3e dose au bout de 8 mois.
Puis on a découvert que la pandémie flambait dans les pays les plus vaccinés (Israël, Islande, Seychelles, Royaume-Uni…).
Puis les autorités de ces pays ont commencé à déclarer que l’immunité de groupe ne pouvait pas être atteinte par le vaccin mais par l’immunité naturelle.
Puis on a découvert des double-vaccinés qui souffrent de formes graves et même en meurent.
On nous explique alors que les double-vaccinés :
- ont statistiquement beaucoup moins de formes graves que les non-vaccinés
- et lorsqu’ils meurent du #Covid_19, c’est en souffrant moins.
CONCLUSION
Le narratif change sans cesse sur les bienfaits des vaccins #Pfizer #Moderna, mais il ne change pas sur
- les vaccins russe🇷🇺 chinois🇨🇳 cubain🇨🇺 et français🇫🇷 (Valneva), qui restent interdits dans l’union européenne🇪🇺
- les traitements, dont #Ivermectine, qui restent interdits malgré l’accumulation d’études positives