Il lance ici son enseigne brésilienne « Atacadao » destinée aux pauvres, pour tenir compte de l’appauvrissement massif de la classe moyenne française.
Les Échos restent muets sur les causes.
Les Échos auraient dû rappeler les promesses faites par la mafia européiste il y a 30 ans pour inciter les Français à saborder leur indépendance nationale en votant Oui au Traité de Maastricht 📉 Lequel créa l’euro et permit le torrent de délocalisations industrielles.